Marseille
25 Apr, Thursday
7° C
TOP

Studio Virginie MARIELLE, livres d’entrepreneurs

Combien d’entrepreneurs à succès ont rêvé d’écrire leur histoire sans savoir comment s’y prendre ? Il existe un métier qui permet de contourner cette difficulté, mais on a du mal à lui donner un nom. « Ghostwriter », ça sonne un peu lugubre, « nègre », ça sonne esclavagiste (c’est d’ailleurs dans cet imaginaire peu reluisant du forçat que se trouve l’origine de la métaphore), quant à « prête-plume », recommandation lexicale officielle du ministère de la Culture, il faut bien le reconnaître, l’expression a du mal à se faire une place dans les usages, tout du moins en France. Ce malaise terminologique traduirait-il la gêne que nous avons à intégrer, dans notre imaginaire collectif, que parfois, l’auteur mentionné en couverture n’est pas le rédacteur réel d’un livre ? C’est bien possible. Pourtant, cette forme de sous-traitance est monnaie courante dans le monde de l’édition ! Ce n’est peut-être pas très romantique, mais il serait temps de lâcher l’idée que les muses chuchotent à l’oreille des poètes. Derrière un livre, il y a d’abord du métier.

Quand on pense aux avantages du livre en termes de communication, on comprend que les entreprises s’y intéressent : c’est un objet plus durable qu’une publicité, qu’un prospectus ou qu’une vidéo YouTube, il se prévaut d’un prestige que n’ont pas les autres médias et surtout, il est l’occasion de développer une réflexion de qualité. Mettre le livre au cœur d’une stratégie de communication efficace, c’est le pari du Studio Virginie Marielle, qui propose à ses clients entrepreneurs une prestation de co-écriture, une formule de branding clef en main qui passe par des entretiens personnalisés, entièrement retranscrits, restructurés et retravaillés par son équipe, jusqu’à la livraison d’un livre prêt à être imprimé. En termes de résultats sur l’image de ses clients, le studio avance d’ailleurs des chiffres plutôt impressionnants ! On pourrait juger l’approche un rien cynique si on faisait de l’objet-livre un artéfact sacré, mais l’un dans l’autre, c’est encore sur son contenu qu’il est le plus pertinent de juger un livre, non ? CBé

www.virginiemarielle.com