
La Caisse d’Épargne CEPAC : L’héritage utile, un an après les JO
Un an après la flamme olympique, la ferveur retombe, mais certaines initiatives prennent racine. C’est le cas de celles portées par la Caisse d’Épargne CEPAC, partenaire des Jeux de Paris 2024, qui s’efforce aujourd’hui de prolonger cet élan dans ses territoires (Provence-Alpes-Corse et Outre-mer) avec une ligne de conduite claire : l’insertion par le sport.
Au-delà de l’image
Depuis 2022, la banque a financé la création ou la rénovation de 25 terrains de basket, notamment dans des quartiers populaires de Marseille. Un choix assumé : miser sur le sport de proximité, libre et gratuit, pour favoriser l’accès à une pratique souvent réservée aux plus équipés. Avec l’appui d’associations comme Sport dans la Ville, mais aussi de partenaires publics (Ville de Marseille, bailleurs sociaux, artistes urbains), ces terrains sont pensés comme des lieux de rencontre, pas seulement de performance.
Une initiative qui n’efface pas les besoins structurels de ces quartiers, mais qui a le mérite d’exister et de durer. Une structure innovante, surnommée « l’arbre à basket », sera bientôt installée à Aix-en-Provence, dans une résidence, pour proposer un espace multigénérationnel et libre. Il permettra à tous de se chausser pour jouer !


Photo 1 : © Linka Production
Des trajectoires concrètes
L’engagement ne s’arrête pas aux infrastructures. À travers son partenariat avec Sport dans la Ville, la CEPAC soutient des dispositifs d’insertion sociale et professionnelle, en particulier pour les jeunes, ainsi que des structures de protection de l’enfance. L’exemple de Yassine Nassah, jeune Marseillais devenu stagiaire à la direction comptabilité de la CEPAC après avoir escorté la flamme sur le Belem, illustre ce lien entre symbolique olympique et accompagnement réel.
Plus récemment, six jeunes de l’association Maison d’enfants Saint-Martin ont participé à une traversée en mer à bord du Belem dans le cadre des Tall Ships Races. Une expérience qui rapproche et invite forcément à prendre confiance en soi…
La banque sert aussi d’appui financier aux sportifs de haut niveau, même après les JO 2024, pour que la fin des compétitions ne rime pas avec précarité. En misant sur des projets de terrain, la CEPAC tente de faire de l’héritage olympique autre chose qu’un mot-clé. CGR